Je suis heureuse de vous partager cette parution sur les dessins d’enfants : mon témoignage en tant qu’experte art-thérapeute apparaît dans le supplément « JDMAG » du Journal du Dimanche (édition du 12 octobre 2025).
Pour cet article, la journaliste m’a transmis six questions auxquelles j’ai répondu par écrit, dans un document fourni en amont. Elle en a ensuite réalisé la synthèse rédactionnelle et signé l’article, tandis que j’y suis mentionnée comme personne consultée. Je ne suis donc pas créditée en tant que co-autrice de l’article, même si son contenu repose sur mes réponses écrites, que la journaliste a rassemblées avec beaucoup de cohérence.
Par ailleurs, je n’avais pas connaissance de l’orientation politique éditoriale du journal au moment de la rédaction.
Je reste néanmoins convaincue que la créativité, l’art-thérapie et les pratiques psycho-intuitives peuvent bénéficier à chacun·e, quels que soient les parcours et les convictions.
Note importante : À la fin de l’article, dans mes réponses initiales, je précisais que « Dans le cas où les productions s’accompagnent de changements de comportement, de silence persistant ou de scènes alarmantes, il est alors préférable de consulter un professionnel pour obtenir un soutien adapté. »
La version publiée évoque quant à elle des « scènes violentes ». Il me tient à cœur de rappeler que certains contenus peuvent alerter sans être « violents », par exemple ceux qui touchent au sexuel, à l’angoisse, la honte ou la culpabilité.
Cette nuance est importante dans l’accompagnement : ce n’est pas la violence d’un contenu qui importe uniquement, mais le vécu émotionnel de la personne.
Pour en savoir plus sur l’art-thérapie avec les enfants, c’est ici que ça se passe !
